Gnanli Landrou est co-inventeur de la technologie du béton sans ciment et co-fondateur de la spin-off de l’ETH Oxara. La vision d’Oxara consiste à permettre l’accès à des logements durables et abordables. Une idée, c’est ce que Landrou a eu en déménageant du Togo en France.
Il faut noter que le jeune homme fait partie des 30 entrepreneurs les plus influents de l’Europe selon le magazine Forbes. Et son inspiration lui est venue de la maison en terre battue dans laquelle il a grandi au Togo (Afrique de l’Ouest) et de la compagnie de son oncle auprès de qui il a appris à construire des habitats en argiles.
Zoom sur le parcours de l’inventeur
M. Gnanli a étudié la céramique et les sciences des matériaux à l’Université de Limoges (France). Après une thèse de master à l’EPFL où il a appris la méthodologie de recherche et la rhéologie des suspensions colloïdales, Landrou est venu à l’ETH Zurich début 2014 pour faire son doctorat à la chaire de construction durable dans le but de développer un béton argileux auto-plaçant.
Pendant sa thèse, Landrou a cofondé l’Association des étudiants africains de Zurich (ASAZ), dont l’objectif principal est de représenter les étudiants africains dans les établissements d’enseignement supérieur de Zurich.
Avec l’aide de ses directeurs de thèse, Gnanli Landrou acquiert des connaissances sur la pensée critique et, dans le cadre de sa thèse, il a développé une technologie qui transforme les matériaux d’excavation en béton durable ; un matériau de construction avec presque tous les avantages du béton pour le traitement tout en étant moins cher et 90 % plus écologique. Après son doctorat, Gnanli Landrou reçoit la médaille d’argent de l’ETH pour ses recherches et sa thèse de doctorat. Afin d’exploiter le potentiel commercial de la technologie du béton sans ciment, il a cofondé Oxara, une spin-off de l’ETH basée à Zurich.Aujourd’hui, Oxara relève le défi de la pénurie de sable, des émissions de CO2 dues à la production de ciment et du manque d’espace pour les matériaux d’excavation des décharges.
Gnanli Landrou est co-inventeur de la technologie du béton sans ciment et co-fondateur de la spin-off de l’ETH Oxara. La vision d’Oxara consiste à permettre l’accès à des logements durables et abordables. Une idée, c’est ce que Landrou a eu en déménageant du Togo en France.
Il faut noter que le jeune homme fait partie des 30 entrepreneurs les plus influents de l’Europe selon le magazine Forbes. Et son inspiration lui est venue de la maison en terre battue dans laquelle il a grandi au Togo (Afrique de l’Ouest) et de la compagnie de son oncle auprès de qui il a appris à construire des habitats en argiles.
Zoom sur le parcours de l’inventeur
M. Gnanli a étudié la céramique et les sciences des matériaux à l’Université de Limoges (France). Après une thèse de master à l’EPFL où il a appris la méthodologie de recherche et la rhéologie des suspensions colloïdales, Landrou est venu à l’ETH Zurich début 2014 pour faire son doctorat à la chaire de construction durable dans le but de développer un béton argileux auto-plaçant.
Pendant sa thèse, Landrou a cofondé l’Association des étudiants africains de Zurich (ASAZ), dont l’objectif principal est de représenter les étudiants africains dans les établissements d’enseignement supérieur de Zurich.
Avec l’aide de ses directeurs de thèse, Gnanli Landrou acquiert des connaissances sur la pensée critique et, dans le cadre de sa thèse, il a développé une technologie qui transforme les matériaux d’excavation en béton durable ; un matériau de construction avec presque tous les avantages du béton pour le traitement tout en étant moins cher et 90 % plus écologique. Après son doctorat, Gnanli Landrou reçoit la médaille d’argent de l’ETH pour ses recherches et sa thèse de doctorat. Afin d’exploiter le potentiel commercial de la technologie du béton sans ciment, il a cofondé Oxara, une spin-off de l’ETH basée à Zurich.Aujourd’hui, Oxara relève le défi de la pénurie de sable, des émissions de CO2 dues à la production de ciment et du manque d’espace pour les matériaux d’excavation des décharges.
Commentaires sur post