clôture du TENASOSP ce vendredi 15 Juillet 2022 à goma chef lieu de la province du nord kivu. Pour le premier essaie de ce test sur toute l’étendue de la république démocratique du Congo les enseignants du nord kivu disent ne pas avoir les résultats positifs de ce dernier car les candidats concernés n’étaient pas préparé psychologiquement compte tenu de la situation sécuritaire que traverse l’est du pays.
Selon AMINI BYUMA Fidèle président provincial de l’Alliance des enseignants du Congo joint par vos reporters ce 17Juillet, les affrontements entre les FRDC et les rebelles M23 à Rutshuru et les Allied democratic Forces ADF en territoire de Beni serraient unes des causes pouvant nouire aux résultats positifs du TENASOSP en province du nord kivu.
Comme vous le savais tous avec moi les combats qui ont secoués le territoire de Rutshuru et Beni, ont déstabilisé les activités scolaire, d’où je ne pense pas voir ces enfants de la huitième année éducation de base s’en sortir aux épreuves pour cette première édition comme était prévue par le gouvernement congolais a travers son ministère de l’EPST. Les enfants viennent de finir le test mais vraiment les conditions n’étaient pas réunies comme il fallait. Par exemple a Rutshuru et Béni beaucoup d’enfants sont en refuge avec leurs parents et il ya quelques uns qui passer le test ne sachant pas ou ils vont rentré et cela ne nous rassure pas que ces candidats peuvent réussir comme nous souhaitions a-t-il indiqué cet acteur du secteur éducationnel.
En dehors de l’insécurité AMINI BYUMA Fidèle ajoute que même le mode de vie de l’enseignant congolais qui jusque là reste la misère ne pouvais pas permettre de préparer les élèves.
Jusqu’à maintenant les promesses irréalisables que les autorités congolaises donnent aux enseignants de la RDC surtout en cette période de la gratuité de l’éducation de base contribueraient à l’échec de ces enfants car les enseignants ne se concentrent plus comme au par avant. Le salaire toujours minime et ne parviens pa même couvrir la moitié des besoins de l’enseignant congolais. Nous réclamons du jour le jour mais rien ne vas. Et alors aujourd’hui c’est difficile de dire a un enseignant de préparer les leçons pour les élèves et pourtant il ne pas bien payé. Si au moins le gouvernement devrait siéger sur cette question les parents des élèves n’auraient plus d’inquiétude a lui d’ajouter.
Signalons que pour des raisons sécuritaires a Rutshuru et béni au nord kivu, quelques centres d’examens ont été délocalisé et cela pourra être la même procédure pour les examens d’État selon l’EPST.
Jimmy Shukrani
clôture du TENASOSP ce vendredi 15 Juillet 2022 à goma chef lieu de la province du nord kivu. Pour le premier essaie de ce test sur toute l’étendue de la république démocratique du Congo les enseignants du nord kivu disent ne pas avoir les résultats positifs de ce dernier car les candidats concernés n’étaient pas préparé psychologiquement compte tenu de la situation sécuritaire que traverse l’est du pays.
Selon AMINI BYUMA Fidèle président provincial de l’Alliance des enseignants du Congo joint par vos reporters ce 17Juillet, les affrontements entre les FRDC et les rebelles M23 à Rutshuru et les Allied democratic Forces ADF en territoire de Beni serraient unes des causes pouvant nouire aux résultats positifs du TENASOSP en province du nord kivu.
Comme vous le savais tous avec moi les combats qui ont secoués le territoire de Rutshuru et Beni, ont déstabilisé les activités scolaire, d’où je ne pense pas voir ces enfants de la huitième année éducation de base s’en sortir aux épreuves pour cette première édition comme était prévue par le gouvernement congolais a travers son ministère de l’EPST. Les enfants viennent de finir le test mais vraiment les conditions n’étaient pas réunies comme il fallait. Par exemple a Rutshuru et Béni beaucoup d’enfants sont en refuge avec leurs parents et il ya quelques uns qui passer le test ne sachant pas ou ils vont rentré et cela ne nous rassure pas que ces candidats peuvent réussir comme nous souhaitions a-t-il indiqué cet acteur du secteur éducationnel.
En dehors de l’insécurité AMINI BYUMA Fidèle ajoute que même le mode de vie de l’enseignant congolais qui jusque là reste la misère ne pouvais pas permettre de préparer les élèves.
Jusqu’à maintenant les promesses irréalisables que les autorités congolaises donnent aux enseignants de la RDC surtout en cette période de la gratuité de l’éducation de base contribueraient à l’échec de ces enfants car les enseignants ne se concentrent plus comme au par avant. Le salaire toujours minime et ne parviens pa même couvrir la moitié des besoins de l’enseignant congolais. Nous réclamons du jour le jour mais rien ne vas. Et alors aujourd’hui c’est difficile de dire a un enseignant de préparer les leçons pour les élèves et pourtant il ne pas bien payé. Si au moins le gouvernement devrait siéger sur cette question les parents des élèves n’auraient plus d’inquiétude a lui d’ajouter.
Signalons que pour des raisons sécuritaires a Rutshuru et béni au nord kivu, quelques centres d’examens ont été délocalisé et cela pourra être la même procédure pour les examens d’État selon l’EPST.
Jimmy Shukrani
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