Exacerbation de scolarisation des filles dans des écoles primaires et secondaires certains parents en trouvent l’importance capitale.
L’éducation des jeunes filles deviens déplus en plus fréquente ces derniers temps dans la ville de Goma en province du Nord-Kivu à l’EST de la république démocratique du Congo.
Ce constant a été fait lors d’une descente effectuée dans plusieurs écoles de la ville, où l’on constate un grand nombre des jeunes filles inscrites au sein des écoles privés et publics.
Selon Wilson PATRICK préfet des études dans une école secondaire de la place, pour cette année scolaire 2022-2023, le maximum d’élèves est constitué par les filles surtout au sein de son école, chose qui marque une grande motivation de scolarisation des filles aux parent contrairement des années 2019-2020 où les garçons était nombreux dans des institutions scolaires,
« Oui, ici à mon école vous verrais que c’est privé, mais nous organisons à peu-près 12 salles de classes, avec un effectif considérable, des garçons et filles mais je constate que les filles c’est sur plus que les garçons. Allez voir dans une classe on peut y trouver au moins 10 garçons pendant que les filles peuvent allait jusqu’au 30 et cela pas dans une classe seulement mais partout. Alors je vois que les parents on vue la nécessiter de scolariser les enfants filles, dans le cadre de les promouvoir ». Explique le préfet Wilson PATRICK.
Celui-ci ajoute que cette situation s’observe dans presque toutes les écoles de Goma, pas pour une seule école.
Par ailleurs certains parents contactés dans le quartier Majengo situé dans la partie EST de cette ville touristique, précisent que la scolarisation d’une jeune fille est toujours considère à celle d’un garçon, contrairement de ce qui se disait au paravent. Ces derniers font savoir que, en matière d’éducation aucune différence entre les enfants car ce que peut exécuter l’un, l’autre serait capable de le faire.
« Nous devons envoyer nos enfants filles à l’école pour étudier en fin de préparer leurs vie future, pas comme nos anciens parents qui nous laissés à la maison en gardant les petits, et travaillent aux champs. C’est qui devons doter la vie à nos enfants surtout aussi les filles pour un jour trouver des femmes leaders dans nos communautés. De mon côté j’appelle d’autres parents à avoir scolarisé tout enfant mais les filles car c’est depuis longtemps les avait étais privées de scolarité ». Indiquent-ils.
Signalons que depuis la multiplicité des séances de sensibilisation sur la scolarisation des enfants filles dans plusieurs communes composent la ville de Goma, les taux des enfants filles nos scolarisées à diminuer depuis deux ans dans cette partie de la province du Nord-Kivu en république démocratique du Congo.
Siméon SEMASAKA
Exacerbation de scolarisation des filles dans des écoles primaires et secondaires certains parents en trouvent l’importance capitale.
L’éducation des jeunes filles deviens déplus en plus fréquente ces derniers temps dans la ville de Goma en province du Nord-Kivu à l’EST de la république démocratique du Congo.
Ce constant a été fait lors d’une descente effectuée dans plusieurs écoles de la ville, où l’on constate un grand nombre des jeunes filles inscrites au sein des écoles privés et publics.
Selon Wilson PATRICK préfet des études dans une école secondaire de la place, pour cette année scolaire 2022-2023, le maximum d’élèves est constitué par les filles surtout au sein de son école, chose qui marque une grande motivation de scolarisation des filles aux parent contrairement des années 2019-2020 où les garçons était nombreux dans des institutions scolaires,
« Oui, ici à mon école vous verrais que c’est privé, mais nous organisons à peu-près 12 salles de classes, avec un effectif considérable, des garçons et filles mais je constate que les filles c’est sur plus que les garçons. Allez voir dans une classe on peut y trouver au moins 10 garçons pendant que les filles peuvent allait jusqu’au 30 et cela pas dans une classe seulement mais partout. Alors je vois que les parents on vue la nécessiter de scolariser les enfants filles, dans le cadre de les promouvoir ». Explique le préfet Wilson PATRICK.
Celui-ci ajoute que cette situation s’observe dans presque toutes les écoles de Goma, pas pour une seule école.
Par ailleurs certains parents contactés dans le quartier Majengo situé dans la partie EST de cette ville touristique, précisent que la scolarisation d’une jeune fille est toujours considère à celle d’un garçon, contrairement de ce qui se disait au paravent. Ces derniers font savoir que, en matière d’éducation aucune différence entre les enfants car ce que peut exécuter l’un, l’autre serait capable de le faire.
« Nous devons envoyer nos enfants filles à l’école pour étudier en fin de préparer leurs vie future, pas comme nos anciens parents qui nous laissés à la maison en gardant les petits, et travaillent aux champs. C’est qui devons doter la vie à nos enfants surtout aussi les filles pour un jour trouver des femmes leaders dans nos communautés. De mon côté j’appelle d’autres parents à avoir scolarisé tout enfant mais les filles car c’est depuis longtemps les avait étais privées de scolarité ». Indiquent-ils.
Signalons que depuis la multiplicité des séances de sensibilisation sur la scolarisation des enfants filles dans plusieurs communes composent la ville de Goma, les taux des enfants filles nos scolarisées à diminuer depuis deux ans dans cette partie de la province du Nord-Kivu en république démocratique du Congo.
Siméon SEMASAKA
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