La crédibilité et la cote de popularité de la Force régionale de l’EAC connaissent une chute libre auprès de l’opinion publique congolaise. En début de semaine dernière, les mouvements citoyens ont appelé à une journée ville morte à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, pour dénoncer « la passivité » de la Force régionale de l’EAC mais également exiger le « retrait de ladite Force ».
De son côté, le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso s’était entretenu le 08 février dernier avec le ministre de la Défense nationale et Anciens combattants, Gilbert Kabanda accompagné du commandement des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) sur l’épineuse question relative à la présence de la Force régionale de l’EAC et son « inactivité » face à la progression du M23 dans le Nord-Kivu.
A cet effet, Christophe Mboso avait, au nom de la représentation nationale, demandé au Président de la République, commandant suprême des Forces armées « si dans un délai raisonnable, la Force régionale n’arrive pas à soutenir les Forces de défense du pays contre l’agresseur et que ses soldats se complaisent à soutenir où à aider les ennemis, nous demanderons au commandant suprême des forces armées qui est le Président de la République, Chef de l’État pour qu’il prenne la décision qui s’impose ».
Dans un communiqué de presse publié un jour plus tôt, l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ) indiquait que la Force régionale d’intervention de l’EAC, avait en lieu et place de défendre l’intégrité territoriale du pays et d’assurer la sécurité des populations meurtries, en collaboration avec les FARDC, constitue paradoxalement une « stratégie, mieux une arnaque politico-militaire dont le dessein est de participer à la balkanisation de la République démocratique du Congo, sous-couvert de l’EAC ».
Par conséquent, cette association dirigée par Georges Kapiamba avait appelé le gouvernement central à assurer le retrait, sans délai, des Forces régionales d’intervention de l’EAC déployées en République démocratique du Congo, « incapables de contenir l’activisme et l’avancée du M23 ».
Source: Acturdc
La crédibilité et la cote de popularité de la Force régionale de l’EAC connaissent une chute libre auprès de l’opinion publique congolaise. En début de semaine dernière, les mouvements citoyens ont appelé à une journée ville morte à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu, pour dénoncer « la passivité » de la Force régionale de l’EAC mais également exiger le « retrait de ladite Force ».
De son côté, le président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso s’était entretenu le 08 février dernier avec le ministre de la Défense nationale et Anciens combattants, Gilbert Kabanda accompagné du commandement des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) sur l’épineuse question relative à la présence de la Force régionale de l’EAC et son « inactivité » face à la progression du M23 dans le Nord-Kivu.
A cet effet, Christophe Mboso avait, au nom de la représentation nationale, demandé au Président de la République, commandant suprême des Forces armées « si dans un délai raisonnable, la Force régionale n’arrive pas à soutenir les Forces de défense du pays contre l’agresseur et que ses soldats se complaisent à soutenir où à aider les ennemis, nous demanderons au commandant suprême des forces armées qui est le Président de la République, Chef de l’État pour qu’il prenne la décision qui s’impose ».
Dans un communiqué de presse publié un jour plus tôt, l’Association Congolaise pour l’Accès à la Justice (ACAJ) indiquait que la Force régionale d’intervention de l’EAC, avait en lieu et place de défendre l’intégrité territoriale du pays et d’assurer la sécurité des populations meurtries, en collaboration avec les FARDC, constitue paradoxalement une « stratégie, mieux une arnaque politico-militaire dont le dessein est de participer à la balkanisation de la République démocratique du Congo, sous-couvert de l’EAC ».
Par conséquent, cette association dirigée par Georges Kapiamba avait appelé le gouvernement central à assurer le retrait, sans délai, des Forces régionales d’intervention de l’EAC déployées en République démocratique du Congo, « incapables de contenir l’activisme et l’avancée du M23 ».
Source: Acturdc
Commentaires sur post