Un militaire des Forces Armées de la République Démocratique du Congo(FARDC) a ouvert le feu sur ses trois(3) compagnons de lutte avant de se fusiller lui-même. Deux d’entre les victimes sont mortes sur le champ tandis qu’une autre s’en est tirée avec des graves blessures puis conduite aux soins intensifs à l’hôpital général de référence de Mutwanga. Au total, le bilan affiche trois morts et un blessé grave interné.
L’incident s’est produit autour de 10 heure du mardi 10 mai dans un camp militaire situé au quartier Kimanza, dans la cité de Mwenda, secteur de Ruwenzori en territoire de Beni dans la province du Nord-Kivu.
Des sources de la société civile du secteur de Ruwenzori, par le biais de son premier vice-président, affirment que tout est parti d’une dispute autour de la batterie d’un téléphone. D’après Bernard Muke, le militaire, auteur de l’incident, est venu d’une autre position militaire toujours en secteur de Ruwenzori. Il renchérit que les trois corps ont été acheminés à Beni pour la mise en terre.
« C’était aux environs de 10 heure de ce mardi 10 mai dans un camp militaire situé au quartier Kimanza dans l’agglomération de Mwenda. Arrivé lundi, un militaire était en discorde avec ses compagnons à cause d’une batterie de téléphone. Il a jugé mieux de tirer sur trois de ses compagnons. Deux sont morts sur le champs et un a été grièvement blessé. Il est à l’hôpital général de référence de Mutwanga où il suit les soins intensifs. Après le forfait, ce militaire a jugé aussi mieux de s’arracher la vie. Les corps des victimes ont été ramenés à Beni » a fait savoir Bernard Muke.
À ce premier vice-président de préciser que sa structure condamne avec véhémence l’acte barbare posé par un militaire, pourtant loyaliste. Il en interpelle la conscience des autorités compétentes afin de prévenir ces genres de dérapage de la part des militaires de l’armée régulière.
« Nous, entant que société civile, nous condamnons cet acte parce que ça montre déjà que les unités ne doivent pas être mêlées même si ce sont des éléments de la même unité mais c’est déjà un mauvais signe. La population qui vit la peur au ventre ne doit pas aussi assister à de tels mauvais signes. Nous croyons que les autorités militaires et les autorités politico-administratives devraient déjà mettre la main dans la patte pour essayer de prévenir les dérapages qui commencent à produire des signes qui peuvent nous conduire à des actes de meurtre par balles », a-t-il exhorté.
Il faut souligner en passant que depuis une certaine période, certains militaires loyalistes engagés dans les opérations de traque des rebelles de Forces Démocratiques et Alliés(ADF) sont réputés dans les assassinats. Pour des raisons inavouées, ils criblent des balles réelles à leurs dépendants ou compagnons de lutte avant de se ôter eux-mêmes la vie. Ce genre de comportement est de fois attribué au traumatisme contracté par ces militaires qui se battent conte les ADF en région de Beni-Ituri.
Source: Agrora Grands-lacs
Un militaire des Forces Armées de la République Démocratique du Congo(FARDC) a ouvert le feu sur ses trois(3) compagnons de lutte avant de se fusiller lui-même. Deux d’entre les victimes sont mortes sur le champ tandis qu’une autre s’en est tirée avec des graves blessures puis conduite aux soins intensifs à l’hôpital général de référence de Mutwanga. Au total, le bilan affiche trois morts et un blessé grave interné.
L’incident s’est produit autour de 10 heure du mardi 10 mai dans un camp militaire situé au quartier Kimanza, dans la cité de Mwenda, secteur de Ruwenzori en territoire de Beni dans la province du Nord-Kivu.
Des sources de la société civile du secteur de Ruwenzori, par le biais de son premier vice-président, affirment que tout est parti d’une dispute autour de la batterie d’un téléphone. D’après Bernard Muke, le militaire, auteur de l’incident, est venu d’une autre position militaire toujours en secteur de Ruwenzori. Il renchérit que les trois corps ont été acheminés à Beni pour la mise en terre.
« C’était aux environs de 10 heure de ce mardi 10 mai dans un camp militaire situé au quartier Kimanza dans l’agglomération de Mwenda. Arrivé lundi, un militaire était en discorde avec ses compagnons à cause d’une batterie de téléphone. Il a jugé mieux de tirer sur trois de ses compagnons. Deux sont morts sur le champs et un a été grièvement blessé. Il est à l’hôpital général de référence de Mutwanga où il suit les soins intensifs. Après le forfait, ce militaire a jugé aussi mieux de s’arracher la vie. Les corps des victimes ont été ramenés à Beni » a fait savoir Bernard Muke.
À ce premier vice-président de préciser que sa structure condamne avec véhémence l’acte barbare posé par un militaire, pourtant loyaliste. Il en interpelle la conscience des autorités compétentes afin de prévenir ces genres de dérapage de la part des militaires de l’armée régulière.
« Nous, entant que société civile, nous condamnons cet acte parce que ça montre déjà que les unités ne doivent pas être mêlées même si ce sont des éléments de la même unité mais c’est déjà un mauvais signe. La population qui vit la peur au ventre ne doit pas aussi assister à de tels mauvais signes. Nous croyons que les autorités militaires et les autorités politico-administratives devraient déjà mettre la main dans la patte pour essayer de prévenir les dérapages qui commencent à produire des signes qui peuvent nous conduire à des actes de meurtre par balles », a-t-il exhorté.
Il faut souligner en passant que depuis une certaine période, certains militaires loyalistes engagés dans les opérations de traque des rebelles de Forces Démocratiques et Alliés(ADF) sont réputés dans les assassinats. Pour des raisons inavouées, ils criblent des balles réelles à leurs dépendants ou compagnons de lutte avant de se ôter eux-mêmes la vie. Ce genre de comportement est de fois attribué au traumatisme contracté par ces militaires qui se battent conte les ADF en région de Beni-Ituri.
Source: Agrora Grands-lacs
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