Plusieurs acteurs de la société civile et défenseurs des droits de l’homme s’inquiètent de la situation des droits humains bafoué par certains agents de l’ordre à Rubaya et ses environs dans le territoire de Masisi.
Le dernier cas en date est celui d’un homme qui a été tabassé et laissé dans un état critique dimanche 18 septembre 2022 dernier par des éléments de la police nationale congolaise à son domicile lors d’une arrestation musclée.
Dans son témoignage, la victime répondant au nom de Faustin, creuser de son Etat et habitant du quartier Matheus 2 renseigne que << sa femme a souhaité appeler les forces de l’ordre pour un problème conjugale et ce pendant qu’ils étaient en pleine réunion familiale >>
Plus tard, la victime a repris connaissance dans une structure sanitaire de la place où il poursuivait des soins d’urgence.
Des biens de valeur et une somme importante d’argent sont au abonnés absent après cet acte.
Pour Faustin RUKOKO, défenseur des droits humains à Rubaya, c’est déplorable de voir que plusieurs foyer décident de saisir directement la justice a n’importe quel dossier qui se pose sur le toit conjugale. Ce dernier se dit outré de la brutalité dont use les certains éléments des services de sécurité lors de leurs attestations.
je crois personnellement que les problèmes conjugales devrairent être réglés par les concernés avant de saisir la justice car c’est une situation qui montre le maque de collaboration entre les conjoints. C’est très important d’en finir eux même a-t-il précisé
Il sied de noter qu’un dossier a été ouvert à l’auditorat militaire à Rubaya pour mettre la main sur le policier commanditaire de cet acte.
Pascal Karibadhu depuis Rubaya
Plusieurs acteurs de la société civile et défenseurs des droits de l’homme s’inquiètent de la situation des droits humains bafoué par certains agents de l’ordre à Rubaya et ses environs dans le territoire de Masisi.
Le dernier cas en date est celui d’un homme qui a été tabassé et laissé dans un état critique dimanche 18 septembre 2022 dernier par des éléments de la police nationale congolaise à son domicile lors d’une arrestation musclée.
Dans son témoignage, la victime répondant au nom de Faustin, creuser de son Etat et habitant du quartier Matheus 2 renseigne que << sa femme a souhaité appeler les forces de l’ordre pour un problème conjugale et ce pendant qu’ils étaient en pleine réunion familiale >>
Plus tard, la victime a repris connaissance dans une structure sanitaire de la place où il poursuivait des soins d’urgence.
Des biens de valeur et une somme importante d’argent sont au abonnés absent après cet acte.
Pour Faustin RUKOKO, défenseur des droits humains à Rubaya, c’est déplorable de voir que plusieurs foyer décident de saisir directement la justice a n’importe quel dossier qui se pose sur le toit conjugale. Ce dernier se dit outré de la brutalité dont use les certains éléments des services de sécurité lors de leurs attestations.
je crois personnellement que les problèmes conjugales devrairent être réglés par les concernés avant de saisir la justice car c’est une situation qui montre le maque de collaboration entre les conjoints. C’est très important d’en finir eux même a-t-il précisé
Il sied de noter qu’un dossier a été ouvert à l’auditorat militaire à Rubaya pour mettre la main sur le policier commanditaire de cet acte.
Pascal Karibadhu depuis Rubaya
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